Le songe d’une nuit de pleine Lune

Le songe d’une nuit de pleine Lune

Quand la pleine Lune paraît, s’extériorise à l’évidence
L’envie d’enfant s’épanouir surtout lors des nuits estivales.
Et lorsque l’astre disparaît, se manifeste en coïncidence
Le besoin de s’évanouir dans l’ombre de cet intervalle.

Moi qui suis né à mi-juillet, il semblerait par déduction
Que ce soit la Lune d’octobre avec son halo transparent.
Je vous en fiche mon billet qu’il y ait délit de séduction
Envers des étoiles moins sobres qui auraient ébloui mes parents.

Illustration de Franklin Booth.

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