
Gaïa aïe aïe, Gaïa a mal ! Mal à la tête, mal aux sinus !
Ses forêts de cheveux coupées, sa température qui monte,
La fin de son règne animal, prochain arrêt au terminus,
L’humanité entourloupée par les faux-vaccins de la honte !
Elle en a perdu sa culotte par la fonte des seins de glace
Et s’est revêtue de plastique jusqu’à ses profonds orifices.
Pendant que les migrants ballottent sur les océans dégueulasses,
D’autres emploient des moyens drastiques pour susciter leur sacrifice.
Sculpture de Sara Swink.
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