
Un jour, j’ai su ouvrir la porte de la frontière de mes sens
Qui me limitait la vision au monde de virtualité.
Lors, j’ai demandé qu’on m’apporte la clef de ma nouvelle essence
Pour que je fasse provision de cette nouvelle réalité.
J’ai découvert mon cœur d’étoile forgé dans le cristal de vie
Qui rayonnait dans l’univers d’un faisceau d’ondes de lumière.
Le temps qu’un angelot me voile ce dénouement qui me ravit,
J’eus le temps de l’écrire en vers ; en voici l’édition première.
Illustration de Moebius.
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