

La bouche parle avec les fleurs, les yeux s’expriment avec des pleurs ;
Le nez respire l’oxygène de ses racines aborigènes.
Les cheveux ondulent au vent, la frange tombe sur le devant ;
Les mamelons auréolés et les oreilles décollées.
Les jeunes filles s’épanouissent, souvent même s’évanouissent
Quand le désir d’amour sature dans le creuset de leur nature.
Les jeunes femmes éternelles deviennent roses maternelles
Qui, chaque printemps, refleurit d’une nouvelle espièglerie.
Photos de Steven Markham.
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