

Le cœur urbain manque à mon âme qui ne s’abreuve que de nature
Et la compassion du béton reste hermétique à ma raison.
Hélas pour l’amour d’une femme et nourrir ma progéniture,
J’ai admis, pour changer de ton, des efforts sans comparaison.
Heureusement les avenues, transformées par les jours d’orage,
Forment un miroir dont les mirages rincent mes yeux à l’eau de rose.
Tous ces petits bonheurs ténus font plus que force ni que rage
Et se changent en millions d’images dans tous mes reflets vers et prose.
Tableaux de Iosif Derecichei sur http:www.stephenloweartgallery.caartistsdi1010001.asp?browsepage=5#Bio .
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