
Si l’homme gouverne comme un pied, confions la barre à la femme
Dont le sens de l’orientation est soi-disant catastrophique.
Soit, elle fera comme il lui sied et lui, obtiendra son sésame ;
Soit, elle suivra ses injonctions et le perdra dans le trafic.
Or, la voix des navigatrices irrite autant l’homme que la femme.
L’homme, lui, n’a guère confiance en celle qui ne sait lire une carte ;
La femme, elle, voit l’instigatrice dans un genre de pétasse infâme ;
Tant et si bien qu’en méfiance, du bon chemin … chacun s’écarte.
Photo d’Arno Rafael Minkkinen.
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