
Tout ce fardeau que j’ai traîné de ma naissance à aujourd’hui
Contient la clef de l’avenir dans le trousseau de l’expérience.
Mais ma serrure est chanfreinée aux jugements que j’ai induits
En piochant dans mes souvenirs ce qui constitue mes croyances.
Ouvrir la porte de la mort demandera de la jugeote
Avec finesse d’adaptation sauf que … je n’aurai plus que mon âme.
Sans le cœur, l’esprit et le corps, elle devra avoir la bougeotte
Et, à défaut d’incarnation, se montrer plutôt fine lame.
« Il n’y a rien de plus beau qu’une clé, tant qu’on ne sait pas ce qu’elle ouvre. » Maurice Maeterlinck.
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