Dans les bras de la Grande Ourse

Dans les bras de la Grande Ourse

Lorsque les bras, Morphée me tend, je me tiens prêt à m’assoupir
Mais la coquine me contourne afin d’enlacer la Grande Ourse.
Je reste là, le cœur battant, tout en poussant un grand soupir
Tandis que les aiguilles tournent et que je me retrouve hors course.

La nuit suivante, recommencent leurs amours fidèles et célestes.
Tant pis ! Je n’ai pas la vedette ; encore une nuit d’insomnie !
Un peu jaloux, de leur romance et leur passion, je me déleste ;
Je fais des plans sur la comète et je fais fi des calomnies.

Tableau de Catrin Welz-Stein sur http:artsdumonde.canalblog.comarchives2016031233502041.html .

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