Après les Parques, l’araignée qui tisse les fils de la vie
Que les trois sœurs ont déroulés durant toute l’humanité,
Dont chaque fibre est imprégnée de nos folies, de nos envies,
De nos existences écoulées entre l’orgueil et la vanité.
La femme-araignée prend la suite pour nous enfermer dans sa toile
Et dévorer au fil du temps nos moments les plus croustillants.
L’homme, toujours à la poursuite de la course autour des étoiles,
N’est qu’un aliment consistant moqueur, suave et gouleyant.
Photo de Rebecca Litchfield.
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