
L’intimité de mon journal m’ouvre une porte sur les étoiles
Qui me confère un raccourci vers les quatre horizons du monde.
Un sas estival-hivernal, une scène où tombe le voile
De la vérité obscurcie par les mystères qui abondent.
Lundi, je marche sur la Lune ; mardi, je flâne au Champ-de-Mars ;
Mercredi, une virée opportune, je dis, avec quelques comparses ;
Vendredi, au Mont de Vénus ; ça me dit, l’amour inopiné ;
Et le dimanche, terminus ! Je fais la grasse matinée.
Tableau de Julie Dillon.
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