
Pendant l’obscurité d’une profonde nuit,
Je marie l’oxymore avec le pléonasme.
Si le songe tourmente et le rêve me nuit,
J’en demande à Vénus un ultime fantasme.
Quand le silence lourd se fait assourdissant,
Elle m’apparaît nue et extraordinaire.
Alors le cauchemar, d’abord étourdissant,
Devient un paradis d’amour imaginaire.
Tableau de Patrice Murciano.
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