
Il était une fois un virus niché dans les monts de Vénus
Qui fit un couac assez succinct avec l’appui d’un faux vaccin.
Ensemble ils montèrent un complot pour secouer le peuple de sanglots
Mais surtout pour assujettir tous les moutons à convertir.
Ceux qui vivaient la vie de château les menèrent longtemps en bateau
Par des paroles et des promesses, bien sûr, aux frais de la princesse.
Ceux qui avaient brandi la rose se retrouvaient tous l’air morose
Et les vagues d’opposition en très mauvaise position.
On parla de révolution dans le peuple en évolution,
Provinciaux aux gilets jaunis qui chantaient en polyphonie.
Finalement ce sont les femmes – jugées créatures infâmes –
Qui firent comprendre à leurs hommes que Dieu les prenait pour des pommes.
Tableau de Rafal Olbinski
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