
Femme-enfant, ta folle jeunesse rugit dans ton corps de tigresse ;
Femme-mère, le feu de ton sein enflamme ton cœur de lionne ;
Femme-éternelle intemporelle, tu te transformes en phénix
Pour renaître encore demain comme un oiseau de paradis.
Femme-enfant, jamais la vieillesse ne ternira ton allégresse ;
Femme-mère, tu vis à dessein de tout l’amour dont tu rayonnes ;
Femme-éternelle et corporelle, l’arôme antique de l’onyx
Donne à la chaleur de tes mains la douceur que tu irradies.
Tableau d’Alexander Maskaev sur https://000cosm.livejournal.com/761992.html
Laisser un commentaire