

Les femmes nues ont des épines comme la fleur à peine éclose
Qui s’épanouit au matin pour un petit bonheur futile.
Comme la rose et l’aubépine qui fleurissaient les maisons closes
Lorsque les robes de satin glissaient sur le sol, inutiles.
La beauté serait-elle un masque derrière lequel se cache le cœur d’une femme ?
La laideur ou les épines pourraient alors également dissimuler l’âme…
Il est tentant de déshabiller une femme pour en découvrir le cœur,
Il est risqué d’écarter les épines pour en dénuder l’âme.
En amour, qui s’y frotte s’y pique !
Tableau de Lora Vysotskaya.
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