

Les romans fleuves jettent à la mer toutes les larmes accumulées
Par les tempêtes de colères et par les pluies de calomnies.
Et sur cet océan amer, je vois des vaisseaux pulluler
Au gré des vents épistolaires soufflant dans mes nuits d’insomnies.
Depuis le début de ce mois d’octobre, je dors la première partie de la nuit puis, dans un demi-sommeil éveillé, je fais des voyages extraordinaires sur des terres ou dans des espaces inconnus où je vois défiler toute ma vie comme des vagues de souvenirs mais je découvre également des mondes fantastiques, poussé par des vents de reconnaissance.
Tableau de Rafal Olbinski.
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