
Rien ne sert de voler et crever les nuages
Si je n’ sais atterrir sans casse et sans dommage.
La poésie m’entraîne sur des vols inconnus
Mais ce que j’y découvre m’est alors reconnu.
Quand vous lisez mes vers, la casquette en arrière,
Je ne rime jamais plus haut que mon derrière.
Et le plus difficile d’un vol en solitaire
Reste bien de finir les deux pieds sur la Terre.
Photo par West Michigan Aviation Enthusiasts.
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