

Derrière le rideau de nuit, le paysage paradoxal
D’un ciel d’azur au bleu de rose pour des rêves contradictoires
Afin de pomper de l’ennui les oreillettes abyssales
De mon cœur qui devient morose s’il n’a pas son quota d’histoires.
Alors laissons notre théâtre s’ouvrir sur un monde meilleur
La tête dans les nuages épars sur un océan de quiétude.
L’esprit, grandiose et bellâtre, regardera sans doute ailleurs ;
Le cœur, déjà sur le départ, saura goûter sa complétude.
Tableaux de Rafal Olbinski.
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