

Prendre une chaise comme une échelle pour voir le monde à sa fenêtre
Pourrait changer la position de ce qu’on croyait parachevé.
Peut-être que mademoiselle y verra un espoir renaître ?
Mais à quoi bon ces dispositions qui laissent un doute inachevé !
Prendre une chaise comme un prie-Dieu pour interroger son oracle
Et peser dans chaque prière le poids de son acceptation
Ne paraît pas plus fastidieux qu’attendre un soi-disant miracle
D’un peuple dans la poudrière brûler en manifestations.
Photos de Catherine Cornett.
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