
Dans mes retraites imposées dans une chambre d’hôpital
Ou assigné à la maison, j’ouvre ma porte imaginaire.
J’y vis des mythes transposés selon mon espace vital
Car il n’y a aucune raison que ce ne soit extraordinaire.
Illustration de Sarah Young.
Dans mes retraites imposées dans une chambre d’hôpital
Ou assigné à la maison, j’ouvre ma porte imaginaire.
J’y vis des mythes transposés selon mon espace vital
Car il n’y a aucune raison que ce ne soit extraordinaire.
Illustration de Sarah Young.
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