


Lorsque s’éveille la lumière par petites touches timides,
Le ciel fait pâlit lentement son aurore réfléchissante ;
Les oiseaux saluent les premières lueurs de leurs niches humides
Et, la mer, l’ensanglantement des vaguelettes frémissantes.
Sous les ponts de pleine lumière, le soleil reprend l’ascendance
Sur la nuit vaincue qui retire ses ombres indéfinissables.
Les femmes ouvrent leurs chaumières, les hommes sortent en cadence
Et les activités soutirent au temps son vol insaisissable.
Lorsque s’assoupit la lumière, vient la magie du crépuscule
Et les couleurs en demi-teinte favorisent l’intimité.
Les habitudes coutumières égayent, le soir en groupuscules,
Le charme d’une ville éteinte d’une quiétude illimitée.
Tableaux de Ton Dubbeldam.
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