
Les couloirs du temps s’entrecroisent selon l’humeur de mes pensées
Comme les chambres d’un hôtel où je vivrais différemment.
Ici, j’aimerais une belle hongroise ; là, je serais récompensé ;
Ailleurs j’irais devant l’autel d’un dieu au bon tempérament.
J’aurais préféré la déesse de l’amour et tous les plaisirs ;
Le temps me joue des mauvais tours et ne m’emmène pas où je veux.
Tantôt c’est selon mes prouesses et tantôt selon ses désirs ;
J’en profite pour faire l’amour toutefois tant que faire se peut.
Tableau d’Andrew Ferrez.
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