
Bien au-delà de la lumière, dans l’anti-monde permanent
Où le temps n’atteint de limite à sa cadence omniprésente,
Là-bas, j’ai ma source première, l’âme primaire et rémanente
Dont le miroir du cœur imite cette énergie valorisante.
Lorsque mes rêves s’y connectent, lors d’une nuit de pleine lune,
Je passe par une ouverture qui ne s’entrouvre qu’une fois.
Mon cœur et mon âme s’affectent de recouvrer cette fortune
Juste un instant dans l’aperture mais qui ravive ainsi ma foi.
Tableau de Sophia Shiloh
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