
Dans la profondeur de la nuit, je ne trouve que le refuge
Dans le silence épais qui sourd du plancher où plus rien ne bouge.
Mais quand l’aurore m’éblouit la carapace calorifuge
De mon cœur qui se meurt d’amour, alors j’embrasse un poisson rouge.
Tableau de Catrin Weltz-Stein.
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