L’infini féminin

L’infini féminin

Si l’éternel est féminin et la passion, une maîtresse,
Alors l’art devient infini, au sinus et au cosinus,
Lorsque le regard masculin se pose comme une caresse
Sur les surfaces transfinies des seins et du mont de Vénus.

Tableau de Ernst Ludwig Kirchner – 1991.

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