
Décidément sans retenue, la belle Alice s’envoie en l’air
Avec son amant chaud lapin dans une infinie volupté.
La voici déjà, toute nue, qui disparaît dans l’oculaire
Du faux miroir, glace sans tain, pour des plaisirs non occultés.
« Le plaisir tend vers l’infini quand l’amour tend vers la lumière ! »
Ce n’est pas un matou matheux qui contredira l’expression.
Aussitôt l’orgasme fini, il repart de source première
Et c’est d’un bonheur comateux qu’en gémissent les réflexions.
Tableau de Jeune Séqui.
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