
Quel nouveau départ me charme plus que celui du lundi,
Comme une semaine vierge où construire mes projets !
Que le temps ne me désarme de ces heures approfondies
De crainte que ne divergent les délais à déroger.
C’est ainsi que ce matin, Alice me prit par la main
De peur que je ne m’enfuis à la poursuite du temps.
Armée de son air mutin, elle m’escorta en chemin.
À présent ce qui s’ensuit, j’en ai le cœur palpitant.
Tableau de Anna Silivonchik.
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