L’année souriante

Ceux qui m’ont souhaité « Bonne Année » en général étaient sincères
Mais j’avoue m’être demandé à qui ces vœux sont destinés ?
À mon banquier, teint basané, qui revient droit de Buenos Aires
Ou à mes créanciers mandés de crédits indéterminés ?

Perdu ! C’est un requin et l’illusion s’appelle une Paréidolie.

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