
Mes jours paraissent monotones lorsque la nature s’endort
Sous le linceul de feuilles mortes de mes arbres déshabillés.
Mon présent se trouve en automne, il paraît que c’est l’âge d’or ;
Et tout ce que le vent emporte sont poussières de sablier.
Bien sûr, je traverserai l’hiver, le givre couvrira mon corps ;
Je dormirai, pieds dans la terre et mon âme désespérée
Suivra la loi de l’univers pour refleurir un an encor ;
Dans la vie, il n’y a pas de mystère, il faut y croire et espérer.
Sur la montagne d’Eidberg, point culminant de commune de Winterthur.
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