Trois cent soixante degrés et puis s’en vont

Trois cent soixante degrés et puis s’en vont

Le temps m’a bêtement cassé en plusieurs morceaux qui gravitent
De l’éternité de l’enfance vers une fin désintégrée.
Aujourd’hui, je suis dépassé par ce cercle qui tourne trop vite
Et me frappe d’obsolescence en trois cent soixante degrés.

Tableau de Georgy Kurazov.

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