

Ô Toi, ma petite maîtresse, que j’aime tant te voir couchée
Et même autant te renverser dans l’obscurité de ma chambre !
Seul mon objectif te caresse par petits clichés attouchés,
Seul mon œil pourra converser en couleurs sépia, gris et ambres.
Qu’elle est donc folle la lumière que capte, à sa vitesse ultime,
Mon âme folle et passionnée pour figer l’immortalité
De l’espace-temps et matière qui, dans mon univers intime,
Renie la mort conditionnée pour un fragment d’éternité !
Merci à Yvanoe Raton pour ses confidences sur la photographie dont j’ai juste capté un profil.
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