
Nous n’irons plus au bois-joli, les lauriers ont été coupés ;
Les belles dames de jadis sont rhabillées par la censure.
On ne fera plus de folies avec ces charmantes poupées
Qui vous offraient le paradis d’une bouche ou d’une main sûre.
Celui-ci, c’est drôle, je l’ai rêvé cette nuit et j’ai essayé de m’en souvenir au matin avec plus ou moins de bonheur.
Laisser un commentaire