
Aux derniers jours du mois de mars, je m’en allais sur la frontière
Qui sépare les jours d’avril et garde intacts les souvenirs
Des amours vives et éparses qui duraient des journées entières
Et offraient à l’homme viril des promesses sans avenir.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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