
La feuille d’automne, empourprée par la rouille,
Aujourd’hui couronnée du diadème d’hiver,
Espère, monotone, que bientôt déverrouille,
Le printemps bourgeonné, ses plus beaux rameaux verts.
Petites fleurs givrées sur les chemins de la forêt d’Eschenberg.
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