
J’arrivais à pas de velours sur des chemins assez glissants ;
Il s’en fallut que je trébuche au grand péril de l’équilibre.
Mais comme je ne suis pas très lourd et que je vais m’amincissant,
J’ai pu m’accrocher à la bûche qui se dressait du bon calibre.
Ce qui fut l’un des beaux arbres de la forêt d’Eschenberg.
Laisser un commentaire