Le sentier qui n’allait nulle-part

Le sentier qui n’allait nulle-part

Mais où s’en va ce sentier qui m’entraine encore plus loin
À me faire tourner en rond dans de sombres labyrinthes ?
Monsieur, si vous consentiez à arrêter vos recoins
Et vos coudes fanfarons, mon errance serait restreinte !

Dans la forêt d’Eschenberg.

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