
Sur l’écrin gris du ciel d’albâtre qui coiffe tout mon horizon,
Je guette les éclats timides de quelques rayons intrépides
Qui laissent les oiseaux s’ébattre dans le printemps en floraison
Dans tous ces reflets d’or humide parfois troubles et parfois limpides.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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