
Je crois que j’ai compris, je crois que je le sens,
Nous sommes tous unis comme frères de sang.
Bien qu’aussi incompris, du moins je le ressens,
Comme un mal qui punit, un ego indécent.
Et lorsque je vous croise, ma sève me transmet
Que votre corps n’est autre que partie de moi-même.
Mais mon âme narquoise qui se croit au sommet
Sollicite un apôtre et voilà le dilemme.
Quel temps il m’a fallu pour vous apercevoir,
Percer votre cuirasse pour atteindre le cœur.
Mais ce que j’y ai vu vibre comme un miroir
Est issu de ma race et nous donne vainqueurs.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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