
Bien sûr il y a la nuit qui nous cache la lumière,
Bien sûr il y a la mort qui nous occulte la vie,
Bien sûr ça frappe d’ennui pour nous réduire en poussière
Pour moi, cela commémore tout ce que mon cœur gravit.
Bien sûr il y a la souffrance que l’on ne peut imaginer,
Bien sûr il y a les blessures qui ne nous laissent pas intacts.
Bien sûr il y a l’espérance qui n’est pas acte machiné
Ni un culte qui rassure mais un céleste contact.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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