
Dans nos châteaux bien calfeutrés, les préparatifs sonnent l’aube
Et le soleil dilue son or, blessant la cime des montagnes.
Et moi je marche à pas feutrés, embarrassé, l’âme penaude
En écoutant l’adieu sonore de l’année qui bat la campagne.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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