
Parfois l’on a le cœur lourd, l’on s’en va toucher le fond
Et le désespoir s’enchaîne aux souvenirs douloureux.
Mais si l’on n’est pas balourd, l’on aperçoit au plafond
Le feu qui ouvre les chaînes et rend le sens amoureux.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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