
Lui, il nous joue les dégradés, noyés dans quelques aquarelles
Qui me font oublier le froid, le vent et les intempéries.
Impossible de rétrograder, le temps n’est plus à la marelle,
Alors je passe avec effroi ce pont où l’été a péri.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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