
Version 2015
À trop compter les moutons et les biser par derrière,
Je les confonds par moment dans mes nuits de loup lubrique.
Si je n’étais si glouton et mon âme si guerrière,
Je m’y prendrais autrement sans jamais casser de briques.
Version 2019
À trop compter les moutons et les baiser par derrière,
Je les saute par moment dans mes nuits de loup lubrique.
Si je n’étais si glouton à stimuler ma carrière,
Je m’y prendrais autrement et changerais de rubrique.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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