
Dans cette nouvelle ville, les murs sont comme des fantômes
Qui disparaissent quand j’approche et quand je veux les toucher.
Les espaces sont serviles, la matière n’est qu’atome
Et ce monde plein de reproches me fait faussement loucher.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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