
Année après année je ressens la présence
De ce grand-père avide d’histoire et d’expériences.
Fut-elle momentanée, sa douloureuse absence,
Elle me laisse un vide qui reste en surbrillance.
À chaque tour du cycle dans ma course du temps,
Je sens encore son souffle, là, derrière l’épaule.
Alors je mets l’article encore en écoutant
Le bruit de ses pantoufles dont j’ai le monopole.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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