
La chaleur délaye les couleurs de la palette de mes terres
Et ce soleil un peu hautain embrase mes pauvres montagnes.
Ô Astre entends-tu la douleur de ma peinture solitaire
Qui n’a plus que ce gris au teint dont s’endeuille ma triste campagne ?
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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