
J’habite au Nombril-du-monde, une espèce de trou perdu ;
Je n’y reçois pas de lettre et personne ne vient me voir.
La vue est un peu immonde, juste un aven éperdu ;
Mais autant qu’on puisse l’être, je suis seul à le savoir.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Laisser un commentaire