Dur, dur, la becquée

Dur, dur, la becquée

Pour nourrir ces oisillons, il faut courir sans relâche
Et apporter la becquée à ces enfants affamés.
À travers les croisillons, nichés dans les bois de blache,
On ne cesse d’abéquer dans ces fourrés malfamés.

Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.

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