
Là-bas où tout s’enfuit comme un monde en exode,
Là-bas sur l’horizon où tout devient infime,
Tout parait disparaître au dernier épisode,
Tout semble s’échapper comme dernière rime.
Aussi puissants soient-ils, infinis Léviathans,
Lorsqu’ils franchissent enfin cet ultime cantique,
Changeant de dimension, sous le feu de Satan,
Ils troquent la physique en mécanique quantique.
Ici et maintenant, je vis dans le présent.
Là-bas c’est différent, presque insignifiant.
Ici c’est mon conscient qui est omniprésent,
Là-bas c’est l’inconscient et c’est édifiant.
Tableau de Fabienne Barbier
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