
Elle frappe mon corps, elle heurte mon cœur,
Elle est froide et glaciale, avec son air moqueur.
La vague est sauvage, elle attaque en chœur,
Cinglant dans la joie ou à contrecœur.
Lentement, à l’usure, de ces marteaux-piqueurs
Je faiblis et recule, j’ai des haut-le-cœur
Je cherche aux alentours un petit remorqueur
Pour panser mes blessures et revenir vainqueur.
Tableau de Fabienne Barbier
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