Parlez-moi d’un été en rose qui m’a souri depuis l’aurore De tous ses jours en dévoilant un soleil rose à ma fenêtre. Parfois la lune fut morose mais aujourd’hui, elle se dore Sous la voûte d’août s’étiolant vers les jours de la vierge à naître.
Parlez-moi d’un été en bleu qui me sourit au crépuscule Et qui se dissout d’ocre et d’ambre comme une équinoxe d’automne. Accompagnées d’un ciel qui pleut, les dernières heures basculent Sous le premier jour de septembre et ses nuages qui moutonnent.
Tandis qu’elle pleurait ses gouttes sur les yeux doux des jolies fleurs Qu’elle survolait en rase-mottes avec son chat qui la pelote, Elle dormait, rêvait sans doute pour calmer ses rires et ses pleurs En invoquant Gémeau-Marmotte, l’esprit des airs et co-pilote.
Que le courage masque mes peurs et que la foi masque mes yeux ! Participer à la croisade contre la folie de ce monde Qui ne jure que par labeur, argent et rêves fallacieux Et courbe la tête sous les bravades des aristos maîtres immondes.
Je ne regarde ni la télé, je n’écoute pas la radio, J’écoute la voix, dans la nature, des animaux fantomatiques. Je peux enfin vous révéler qu’on nous a pris pour des idiots Avec l’insidieuse torture de la panique médiatique.
Quand j’aurai terminé mon cycle qui boucle l’existence entière Je changerai de dimension et serai de nouvelle essence. Du premier au dernier article, la récurrence est sans frontière De régression en expansion, de vies, de morts en renaissances.
Cette origine mystérieuse, elle-même extérieure au monde, Crée le premier trait de l’histoire qui se répètera sans cesse. La mine de carbone victorieuse trace dès la première seconde La loi des mystiques notoires par des bâtonnets de sagesse.
La quatrième dimension, plus difficile à percevoir, Ouvre le seuil de la conscience à celui qui en fait l’effort, Qui abandonne ses prétentions pour parvenir à recevoir La fin d’agir en inconscience, le début d’un nouvel essor.
Désormais la cinquième essence montre la raison de la vie ; L’être vivant comprend le sens de son entière destinée. Entre conscience et inconscience, le cœur a donné son avis Et l’âme ressent sa puissance, dans l’univers, prédestinée.
Dernière étape de la vie avant la porte de la mort Que la personne a acceptée comme porte d’éternité. La condition de sa survie – comme paradoxal oxymore – N’est plus qu’un fragment excepté d’une infinie connexité.
Dès la première étape humaine, le temps semble une ligne droite Qui fuit inexorablement de l’aube jusqu’au crépuscule. Au fil des jours et des semaines, la vision reste maladroite, Pire, incommensurablement, l’existence paraît minuscule.
Lorsque la vision s’élargit, la surface étend sa frontière, L’environnement se dessine aux quatre coins de sa prison. L’homme et la femme en léthargie commencent pour leurs vies entières À développer leurs racines jusqu’aux confins de l’horizon.
À la troisième dimension, l’environnement se recourbe, Le territoire devient sphère et l’on se rend à l’évidence. Il faut changer ses conventions sans mentir, sans paraître fourbe, Mais accepter la planisphère, obéir à sa transcendance.
Le courrier du cœur a évolué Grâce à des pratiques assez raffinées Dont le contenu surévalué Glisse dans l’enveloppe rose paraffinée.
Les mots ont repris du poil de la bête ; On ne les lit plus mais on les caresse. Le parfum n’est plus essence d’herbettes Mais de l’entrejambe de notre maîtresse.
Pour décacheter, ouvrez le nombril Et plongez le nez, l’organe à fantasmes. Vous y sentirez au fond assombri Les préliminaires d’un futur orgasme.
Que j’aime la Nature qui se penche vers moi Pour m’écouter le cœur et pour me guider l’âme ! Sentir sa signature gravée dans mon émoi, Sa force de vainqueur, la force de sa flamme.
Car elle me ressemble, la Terre qui me tend Une branche d’amour, un vent d’inspiration. Et moi, je lui rassemble le plus gros de mon temps Pour vivre au fil des jours par sa respiration.
Photo du Baldeneysee à Essen en Allemagne par Chribeu.
Le Roi ne choisit pas sa Reine à l’intérieur de son royaume. Il part en chasse comme chasseur espérant trouver son gibier. Mais ses efforts restent à la traîne car l’Amour a son propre idiome Et pour trouver son âme-sœur, il lui faudrait un équipier.
Or, Cupidon, preux chevalier, murmure à l’oreille des princesses Et leur fait découvrir leur prince, plein d’humour et de courtoisie. Alors d’un geste cavalier, on voit le Roi plein d’allégresse Brandir fièrement dans ses pinces celle qui l’aime et l’a choisi.
Si hier encore, dans le brouillard de toutes ces intoxications, Je ne savais plus où aller ni même voir mon bout du nez, Le médecin, peu débrouillard, a raté mon opération ; Depuis, sous l’horizon voilé, je me sens bien infortunée.
Mais aujourd’hui on a semé de petites graines d’espoir Qui me font voir de l’intérieur un monde neuf et libéré. Ce petit arbre, je vais l’aimer et l’arroser matin et soir Pour regarder à l’extérieur toute la lumière espérée.
Illustrations de Shaun Tan sur http:thebirdking.blogspot.com201405landscape-portrait-portrait-landscape.html?m=1 .
Jeanneton perdit sa faucille dans les joncs autour de l’étang Et voulut plonger dans ses eaux pour récupérer sa moisson. Mais voici que la jeune fille vit son image se reflétant, Entre nénuphars et roseaux, évoquant l’ordre des poissons.
Quand elle découvrit le tiroir caché tout au bas de l’armoire, Alice fut bouleversée par son image réfléchie : De l’autre côté du miroir, son lapin blanc paraissait noir Et son beau sourire inversé d’une figure défraîchie.
« Tant pis pour le joli sourire ! » se dit Alice renfrognée. « Car, après tout, à quoi ça sert quand l’absurdité vous dévore ? » Puis, elle piqua un fou rire en voyant son lapin grogner Quand il fut traité de dessert par des carottes carnivores.
Quand son mari mourut un jour, tous les amants de Cendrillon La convoquèrent à minuit afin de consoler leur reine. L’un après l’autre, épris d’amour, joignirent l’ordre des papillons Et jurèrent qu’ils, toutes les nuits, butineraient leur souveraine.
Maintenant qu’il est animé des sabots jusqu’à la crinière, D’une blancheur immaculée, le cheval s’échauffe, impassible. Doucement, il vient ranimer les souhaits de la cavalière Qui, elle aussi, a basculé dans des logiques impossibles.
Lorsque les journées superposent les images des promeneurs Avec chiens, chevaux et enfants, et silhouettes à bicyclette, Une seule conséquence s’impose vu le parcours des randonneurs ; Si je sortais mon éléphant, tous s’enfuiraient à l’aveuglette.
À travers champs, bois et forêts, ils ont traversé les saisons, Permutant l’hiver au soleil et l’été dans des pluies de joie. La nuit s’est trouvée colorée de mille étoiles en floraison Et le cheval, dans son sommeil, brisa ses bascules de bois.
Point ne se cache dans le flamant la femme en rose imaginaire Lorsque la plage et le ciel baignent ma recherche de l’absolu ! Puis, un clair de lune enflammant mon désert d’océan lunaire, La moiteur de la nuit s’imprègne de cette chimère dissolue.
Alors qu’elle croyait s’échapper de l’univers de son enfance, Son vieux cheval de bois hennit d’une complainte langoureuse. Alors elle se sentie happée sans retenue et sans défense Au souvenir des jours bénis de ses rêveries savoureuses.
Le jour et la nuit tomberont sur votre enveloppe charnelle Et le printemps refleurira sur votre nouvelle jeunesse. Tous les regards succomberont à votre beauté éternelle, Tout votre corps rajeunira riant d’un cœur de diaconesse.
Pour dissimuler ses humeurs qui pourraient ternir son image, Elle a brisé tous les reflets qui en portaient la signature. Fini l’éclat de ces rumeurs qui colportaient sur son visage Mille défauts, mille pamphlets sur sa véritable nature.
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Un jour, ma souris d’Amérique m’a rappelé son souvenir Alors que j’étais à Paris en train de passer mes vacances. Elle fut très allégorique sur une carrière d’avenir Mais comme j’étais aguerri, je passai sur l’extravagance.
Nous partîmes pour Rocamadour en direction de la Dordogne Où elle devait récupérer l’héritage légué par son oncle Qui aurait été troubadour sa vie durant dans la Bourgogne Et s’était fait rémunérer d’argent payé rubis sur l’ongle.
Nous passâmes par la transalpine à travers prairies et bruyères, Franchîmes des cols vertigineux et découvrîmes son héritage : Une distillerie clandestine qui confectionnait à Gruyère Un alcool fort et résineux sous le cloître d’un ermitage.
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Je devais retrouver la trace d’une fille de la montagne Qui s’était enfuie de Lausanne pour faire carrière en Amérique. C’était une gamine de race qui était née à la campagne Et se faisait appeler Suzanne par les gars du téléphérique.
J’allais interroger ces gars qui me donnèrent comme indice Un aller-simple pour une croisière direction « la Californie ». Je poursuivis donc ma saga avant que la piste ne refroidisse, Le nez calé sous la visière de ma casquette racornie.
J’ai vite retrouvée ma souris qui chantait dans un cabaret Avec une bande de jeunes loups jazzant du blues comme des ânes. La mignonne alors m’a souri me disant qu’elle s’était barrée Et comme je n’étais pas jaloux je suis revenu à Lausanne.
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Enfant de Méditerranée, mes gènes sont multipliés Par un mélange de chrétiens, juifs, musulmans et de chinois. Voici de nombreuses années, un grec, appelé Olivier, Prit femme lors d’un entretien avec son clan carthaginois.
Par la suite, ils ont émigré suivant la route de la soie Et leurs enfants ont procréé avec des turques et des tartares. Leur sang ne s’est pas dénigré ; il a acquis confiance en soi Par tous les liens qu’il a créés : métis, quarterons et bâtards.
Originaire de Norvège, fille des dieux, sœur des géants, Elle se serait offerte au tonnerre, femme d’Odin, mère de Thor. J’en ai reçu le privilège lorsque je naquis du néant Dans ma période embryonnaire par sa sagesse de mentor.
Malgré les jours de canicule qui s’insinuent dans mon logis, Je survis à tous les étages en guettant les gros cumulus. Mais la menace est ridicule car la météorologie N’en fait pas vraiment un fromage à cause du coronavirus.
La femme à pois, l’homme à rayure font l’enfant sous le parasol. On se mélange les valeurs, on se combine les motifs. Bisous salés, baisers mouillures, on en perd vite la boussole ; Bien vite on abaisse les couleurs, son caleçon et son soutif.
Voilà, il fallait s’y attendre, l’inspiration a débordé ! Le monde intérieur s’est ouvert et a enfermé l’extérieur. Le cœur est devenu plus tendre, le fol esprit s’est sabordé ; L’âme, désormais à découvert, atteint le degré ultérieur.
Plus le poète devient loup et plus il cherche l’ouverture Et plus la Lune reste muette et son canal du cœur fermé. Le génie n’aime pas les filous et lui décline son aperture Tant que sa conscience fluette ne laissera pas l’âme germer.
Aurore, ouvre-moi les volets des portes de la nuit nacrée ! Fait poindre des seins tes rayons d’un peu de bonheur essaimés. J’ai vu en rêve qu’une envolée d’or ranimait le feu sacré Au son du premier carillon pour un nouveau jour à s’aimer.
Tableau « The Gates of Dawn », 1900 d’Herbert James Draper.
Pour composer son ouverture, Johan Strauss dut apprivoiser Une jolie chauve-souris aux prédilections théâtrales. Elle vivait dans des grottes obscures et, pour la faire pavoiser, Il lui joua un pot-pourri d’improvisations sépulcrales.
Les mains, organes de lumière, savent la voir et l’envoyer Comme un sens qui sait recevoir et comme un sens qui sait donner. Elles sont chargées des poussières que les étoiles ont coudoyées Pour nous offrir, et le savoir, et l’amour pour tout pardonner.
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Le poisson rime avec boisson et son local avec bocal ; Hélas, les bouteilles à la mer riment avec la pollution. Les retombées de pluies amères accusent notre évolution Et le plastique, comme poison, une involution radicale.
Secrètement, les soirs d’été, Mars est convié au crépuscule ; C’est un honneur que le Soleil lui réserve avec conviction. À la brune, Il est invité par les étoiles qui se bousculent Pour assister à la merveille des deux couchers en conjonction.
J’ai voulu me hisser hors du monde juste à la force de mes bras Pour échapper aux gens masqués qui m’offraient la vie pour du fric. Ce qui me paraissait immonde tomba, coula, périt, sombra Dans un nouvel ordre casqué entre les pôles et l’Afrique.
J’y ai vu beaucoup d’avantages à mettre la tête hors de l’eau Et des gens donner de l’argent pour s’acheter l’absolution, Payer ceux qu’ils désavantagent en leur pompant comme des salauds Leur sang et se le partageant entre Maîtres de la corruption.
Le port du masque obligatoire, la vaccination imposée, La puce GPS transplantée gérera nos gains et nos dépenses. Ainsi, une vie sans histoire, sans numéro à composer, Le tout directement implanté dans l’organisme sans défense.
On nous créera un monde bis, hors de la portée des machines ; On nous changera la nourriture contre un petit bonheur posthume ; Un peu d’alcool, de cannabis pour enterrer nos origines Et pour que notre progéniture oublie à jamais nos coutumes.
La docilité est facile, la rébellion plus difficile Car il nous faudra renoncer à tout ce qui est annoncé : Vivre avec forfait prépayé une vie de star surveillée, Parmi la crème des héros de la télé Canal Zéro.
Ils nous manipulent la vue pour faire ce qui était prévu ; Ils nous matraquent de leurs chansons à faire de nous des mollassons ; Ils nous font goûter du poison pour nous faire tomber en pâmoison ; Nous offrent tous ces avantages pour que nous en voulions davantage.
Quand nous verrons nos petits maîtres semblables à nous, en apparence, Avec leurs robots vigilants, leurs chiens hurlants et leurs faucons, Avec ceux qui se seront fait mettre cette pilule au goût bien rance Notre choix sera diligent : rester vrais ou rester faux-cons.
Ils courent, ils courent les petit leurres qu’on nous oblige à attraper Comme des petits Pokémon qui se propagent comme des virus. Il part, il part l’argent du beurre qui continue à nous happer Tout notre temps comme un démon à la sauce coronavirus.
Ils sortent, ils sortent, les derniers films qui nous font prendre pour des héros Et qui nous donnent le pouvoir de vouloir ce que veut le monde. Ils s’cachent, ils s’cachent les microfilmes, les cartes à puces, crédit-zéro Qui sont là pour nous promouvoir tout à la dernière seconde.
Ils fuient, ils fuient, les milliardaires en fusée interplanétaire En nous abandonnant un monde qu’ils ont complètement asséché. On danse, on danse, les suicidaires qui ont cru être égalitaires Et qui pataugent dans l’immonde enfer le prix de leurs péchés.
Collages de Propaganda sur http:propa-ganda.co.krxefilm30412?ckattempt=1 .
Je ne crois pas trop en Marie, mère de Dieu et tous ses saints Mais je donne toute ma confiance en l’Éternelle Féminité. À la Nature, je m’apparie, la Terre qui m’a nourri au sein Et toute la signifiance de Sa Sainte Maternité.
Marie ceinte d’un chapeau rouge plutôt qu’une couronne d’épines Parlerait beaucoup mieux d’amour qu’un martyre sacrifié. Seulement voilà, pour que ça bouge, il faut un mec et une pine Afin de convaincre les balourds que lui seul est sanctifié.
Vous souvenez-vous du satellite qui n’a jamais vu de visite ? Vous rappelez-vous des tours jumelles qui n’ont jamais vu d’avion ? Eh bien, les mêmes acolytes nous font le coup du parasite Par une interdiction formelle de dire ce que nous savions.
Finalement je me suis arrangé avec ma mort et mon destin ; Chacun a fait des concessions et nous vivons en bonne entente. Comme elle m’a permis de ranger en lieu sûr mon cœur clandestin En échange, en rétrocession, nous cohabitons en dilettante.
Comme deux mondes qui s’ignorent bien que vivant en parallèle, L’univers des femmes s’attache à préserver sa descendance, Les hommes, Rois ou Monsignore, bâtissent un monde industriel ; Chacun veut que l’autre s’en détache pour lui reprendre l’ascendance.
Le prêt-à-porter a permis de vous forger un caractère En s’habillant de jeans troués, Fashion et vêtements de marques. Le prêt-à-penser affermit cette démarche militaire (autoritaire) Jusqu’à des robots rabroués qui courent après les démarques.
De mère à fille, le même son se transmet dans chaque cellule Comme si les mitochondries possédaient leur propre entité ; Un message en colimaçon dans la double hélice circule Comme antagonisme amoindri, la féminine identité.
Elle avait perdu la mémoire, on l’appelait « la voyageuse » Car elle évoquait des images venues d’un peu tous les pays. Elle parlait comme un grimoire ouvert aux pages aguicheuses Qui nous invitaient aux voyages comme enfants aux yeux ébahis.
Impression sur papier d’archivage de la peinture par Christine Peloquin.
Maquillage-écran intégré, c’est bête mais fallait y penser ! Les joues, le front offrent un support pour exprimer ses sentiments. Ainsi vous pourrez dénigrer – et sans parole dépensée – Votre entourage ou, sans effort, glisser un petit compliment.
Nouveaux passeports du futur, nouvelles photos d’identité ! Photos en quatre dimensions, longueur, largeur, hauteur et temps. Ainsi au fur et à mesure que vieillira votre entité, Tout paraîtra avec mention « jeune et jolie depuis longtemps ».
L’Iris à sa reconnaissance remplace à lui seul une empreinte Et le visage enregistré vous fait ressortir de la foule. Authentifié dès la naissance, l’état exerce son étreinte Homologuée, administrée, on n’a pas peur, on se défoule !
Photos de Brno Del Zou sur http:brnodelzou.ouvaton.orgv227-2portraits-en-photosculpture .